It's not a question of sense, it's a question of referential
"Météo France annonce beau mais pas très chaud le week-end prochain, c'est bien s'il pleut pas pour le mariage de Caro."
C'est pas comme si j'avais une robe courte et des chaussures ouvertes - je sens venir l'instant de solitude.
Ma vie en ce moment a un côté roman épistolaire, à la Laclos. Non, c'est faux, c'est pas aussi agité, ni aussi pimenté. J'aime bien écrire aux gens, même des petits mails à la con, pour nouer une correspondance -ou rester en contact. Avec So' ou Twiny par exemple. Ou encore avec mon correspondant américain de 4°, qu'on s'était envoyés trois lettres mais qu'on a repris contact et on s'écrit régulièrement. Je ne suis pas sûre qu'on ferait un best-seller en réunissant tous ces mails (Chapitre 1: de ton anticerne. Chapitre 2: why the French don't like Republicans. Chapitre 3: t'as raison, épouse-moi.) mais j'aime ces correspondances. Joli mot, correspondance. Old school.
Les hommes, quand ils travaillent, se sentent toujours obligés de siffler. Mais jamais quand ils font du bruit, je veux dire, c'est perceuse -sifflotement -marteau. Impossible d'y synchroniser. Bien sûr, rétorquera avec une mesquinerie typique mon lectorat féminin, les hommes sont incapables de faire plusieurs choses à la fois. Certes, et là, mon ascenseur se fait refaire, imaginez ma douleur.
Bientôt, sous vos yeux ébahis, de la musique, de la vraie.