Back to basics

Ok. Ca va.
J'ai fini ma petite crise psychologique, aidée notamment par une séance de soutien par Maïté autour d'un cacao, une bonne discussion avec Ju et Fab et un repas avec la classe. Et aussi parce que mon rhume est finalement passé.

Mon emploi du temps est pas encore complètement fixé. J'ai laissé tomber l'idée de faire la photo mais je ne sais pas encore si je vais en espagnol, ce qui laisse la possibilité de faire de la danse. Je vais arriver à cheviller tout ça. En tous cas, je sais où trouver ZE shoes pour danser la salsa. Et pour se fouler la cheville puissance cinq aussi, passons.

On a repris le rythme, plutôt tranquille, il faut l'avouer. Squattage en salle info, visites aux mouflons, cours sympas. Retour aux habitudes, les courbatures du samedi, les bleus. Je crois seulement que je commence à avoir du mal à faire du sport en soirée. Le vendredi soir en fin de soirée, il me semble que c'est peut-être trop tard pour fournir un effort physique important. Ca peut aller de la simple fatigue au quasi-malaise. Pas glop.

Le meilleur moyen pour distraire une femme est de jouer sur son côté frivole et perso, ce sont mes lunettes de soleil qui jouent le rôle de détournement de blonde. En parlant de ça, je me suis sentie très stupide quand j'ai flashé sur un shampooing qui existe pour blondes ou pour brunes et pas pour 'in between'. Dans le doute, j'ai pris brun, pour l'excellente raison que le shampooing à la camomille pour blonde m'avait tué les cheveux; la prochaine fois, je prendrai blond. Bref, pour en revenir à mes solaires, la seule chose qui me gêne, c'est la marque en gros qui désigne l'heureuse propriétaire (en l'occurence, moi) comme une affreuse pouffe facheune. Cependant, j'adore -ceci est un indice très subtil pour vous faire deviner ladite marque- et il est toujours possible d'escamoter tout ça à la one again, c'est pas comme si c'était pas quasi systématique chez moi.

Et une robe tellement métonymique qu'elle est affalée sur le canapé à ma place.

A-ny-way.

.·°¯`·.·..·* 10,000 Nights, Alphabeat